Jusqu’en 2007, les praticiens en Méthode POYET pratiquaient de l’ostéopathie et étaient qualifiés d’ostéopathes. Les décrets sur les écoles d’ostéopathie ont depuis changé le paysage des pratiques thérapeutiques manuelles reconnues par l’état.
La Méthode POYET repose sur les lois de l’ostéopathie générale et est enseignée selon ces même lois. Son extrême douceur l’éloigne aujourd’hui des techniques ostéopathiques. Quelles sont les spécificités de la Méthode POYET ?
Les « fusibles ». A l’instar d’un tableau électrique dans une maison, le corps humain peut se « mettre en sécurité » afin de se protéger. La relance énergétique de certains points sur les vertèbres permet de restaurer certains réseaux énergétiques. La relance de ces points permet au praticien d’avoir une lecture juste des anomalies et dysfonctions du corps afin de les corriger. Ces fusibles n’existent pas dans les autres techniques manuelles comme l’ostéopathie ce qui peut limiter leur efficacité.
Le clavier sacré. La Méthode POYET a ceci d’original qu’elle se base principalement sur la réharmonisation de points précis se situant sur le sacrum, os qui se situe à l’arrière et au milieu du bassin.

Les chaines linéaires de Maurice POYET : points de correction sur le sacrum, rassemblant 8 chaînes de compensation qui, en un seul geste, permettent d’équilibrer toutes ces adaptations afin de cibler le désordre initial dès la première séance.
Enfin, une douceur inégalée. Maurice POYET a découvert qu’une simple information de correction délivrée avec précision et douceur suffisait pour que le corps « suive » et retrouve son intégrité. Aussi léger qu’un papillon sur une fleur, la correction informationnelle se distingue des techniques manipulatoires et énergétiques. La Méthode POYET est ainsi crée comme une véritable Thérapie Manuelle Informationnelle Sensorielle.
André BRUNEL, membre du groupe de recherche Arthemis sur la Méthode POYET :

Exit donc les descriptifs de la méthode du type : Ostéopathie énergétique, ostéopathie fluidique, osteo-thérapie, osteofluidique, Poyethérapie…
D’Alain CALMETTE, membre du groupe de recherche Arthemis sur la Méthode POYET :
